Au Planétarium
Le toit du Nouveau Planétarium, miroir désormais dressé vers le ciel, accueille « Mutation du visible », le récit graphique d’ Anaïs Tondeur. Une série de dessins au graphite y retrace ainsi l’histoire non-linéaire des imaginaires, observations scientifiques et explorations spatiales qui, au fil des temps, ont transformé notre perception de La Lune, cette permanence chérie de notre Très Grand Paysage.
Au Jardin Botanique
L’écho de cette conversation cosmique active le Jardin Botanique. L’astre lunaire exalte la mystérieuse chorégraphie des feuillages. Il technicolore les puissants flux vitaux qui traversent les serres. Il révèle les figures cosmogoniques que cachent de rigoureux bassins habités par le chœur passionné des batraciens. Tendez l’oreille, l’Ensemble Vocal Diversio emprunte les codes de l’A.S.M.R. pour vous chuchanter nuitamment quelques populaires odes à la nature. L’Ensemble Vocal Diversio compte une trentaine de choristes sous la direction de Cédric Dosch. L’ensemble réunit aussi bien des musiciens expérimentés que des passionnés qui ne lisent pas la musique, pour monter chaque saison des projets ambitieux avec mise en espace, scénographie, projection vidéo, théâtre, costumes… Cette année, après une veillée autour du monde en janvier et l’accueil des Funky Frogs en avril, Diversio part dans la lune au mois de juin ! La diversité des styles abordés est au cœur de Diversio. Les programmes sont éclectiques et ouverts à tous les horizons du répertoire : du jazz au baroque, du contemporain au sacré, avec une préférence qui se dessine au fil des années pour la pop, le jazz vocal et la chanson française.
Ouvrez les yeux, aux frontières entre Art et Sciences, l’invention imaginée par la start-up Aglaé sublimant la beauté du végétal, participera à une partie de la mise en lumière du jardin botanique avec la réalisation de plantes bio lumineuses. A terme, l’ambition d’Aglaé est de proposer une source d’éclairage alternative et plus respectueuse de l’environnement, grâce à une technologie de phosphorescence végétale. Celle-ci consiste à absorber la lumière du jour afin de la restituer la nuit, pendant 8 à 12 heures et ce sans aucun apport électrique.